mercoledì 13 novembre 2013

COMMENT CHEIKH MOUSTAPHA ORGANISAIT LES PRIERES DU MAGAL 20 MOUHRAM



 << Faite que mon meilleur jour soit le jour de TA rencontre>>

       اجعل خير الايام يوم القاك


Apres le rapel à DIEU de cheikhoul khadim( CHEIKH AHMADOU BAMBA) cheikh moustapha donna l'ordre de fair la magal du 20 mouharam 1927/1346.
 Voici comment cheikh moustapha faisait le magal:

Lecture du sain Coran 28 fois

1-     12 kamil( Coran) au mihrab de la grande mosquèe

2-      12 kamil(Coran) aux alentours de la Mosquèe

3-     4 kamil(Coran) dans le mausole du cheikh


Dans chaque coin des qutres coins de la mosquèe 

1-            DIZBOUL KHOULOB(جذب القلوب )

2-            MAWHIBOU ANNAFIH(  مواهب النافع )

3-           MOUKHADDA MATOUL AMDAH (مقدمات الامداح )

4-          MIMIYA (ميميه )

Et le reste des talibes se concentraient dans le ZIKAR SALATOU AL NABI distribution des berdes et autres

L'OEUVRE DE CHEIKH MOUSTAPHA AL KARIM


Lors du rappel à DIEU du Serviteur du Prophète, le 19 juillet 1927, Cheikh Mouhamadou Moustapha
fit une fois de plus montre de ses vertus de lucidité et de tempérance, après avoir personnellement
constaté le décès, en organisant dans une discrétion absolue son inhumation à Touba, selon les
voeux du disparu.
Après sa désignation le 25 juillet 1927, le premier Calife du assurer la relève en s’attelant
particulièrement à la construction de la Mosquée de Touba; projet qui tenait réellement Cheikh
Ahmadou Bamba à coeur. Malgré des débuts marqués par des difficultés de tous ordres, dont la
plus dure fut assurément l’opposition de nombre de dignitaires de la Communauté à son califat,
Cheikh Moustapha s’avéra rapidement être un Calife de grande intelligence soutenue par une
vaste culture et une conformité sans faille aux enseignements du Cheikh se traduisant notamment
par un courage, une dignité et une générosité qui resteront légendaires.
C’est lui qui, à la disparition de leur père, s’était chargé de l’éducation de presque tous ses frères
et soeurs. Beaucoup d’entre eux vécurent avec lui et le Calife n’épargna, selon les témoignages
de ses frères mêmes, aucun effort pour leur bien-être allant même jusqu’à leur désigner, une fois
devenus adultes, leur premier lieu d’installation en ne manquant jamais de leur fournir l’aide
matérielle nécessaire aux premiers pas dans la vie. Ce fut également un excellent administrateur,
un authentique homme de terrain. En 1928, il obtint l’immatriculation d’un terrain de 400 hectares
sis à Touba et demanda, au début de 1929, l’autorisation de reprendre la construction de la
Mosquée dont l’irresponsabilité et la cupidité de l’Administrateur Occidental désigné avaient mis
les travaux en cause. A l’issue d’un long procès à rebondissements dans les tribunaux parisiens,
l’Administrateur Tallerie eut injustement gain de cause et la communauté mouride se vit contrainte
de lui payer la somme faramineuse de 250 000 francs comme dommages et intérêts pour dédit et
préjudice sur rupture de contrat. D’autres obstacles auxquels le chantier de la Mosquée eut
bientôt à faire face furent : l’acheminement du matériel de construction à Touba face à
l’inexistence de réseau de communication, la rareté des matériaux tels que la latérite dans cette
zone, la profondeur de la nappe phréatique (à plus de 25 m) posant de façon cruciale le
problème de l’eau etc. La découverte de la carrière de Ndock, à une dizaine de kilomètres au Sud
de Touba, permit de résoudre le problème de la latérite. L’engagement total de dizaine de milliers
de volontaires, le dévouement indescriptible de milliers de jeunes, femmes et adultes travaillant
plus de 18 heures par jour, transportant dans des paniers posés à même la tête ou sur charrettes
d’énormes blocs de pierres sur une dizaine de kilomètres, toute cette formidable énergie déployée
dans la sueur et dans le sang (car on ne compta pas alors les décès) accélèrent l’achèvement des
fondations et l’empierrement de la plate-forme de la future mosquée.
Pour résoudre le problème des voies de communication Cheikh Mouhamadou Moustapha
entreprit, malgré l’incrédulité des autorités publiques, le financement et la réalisation sur fonds
propres d’un tronçon d’une cinquantaine de kilomètres de voie ferrée qui allait relier Diourbel à
Touba via Mbacké à partir d’un embranchement du Dakar-Niger. Avec toujours la détermination
extraordinaire de milliers de disciples, des « Baye Fall » sous le commandement de leur Calife SerigneMoustapha Fall, fils aîné de Cheikh Ibrahima Fall, la durée de réalisation de cette initiative inédite
dans l’histoire pulvérisa toutes les prévisions et fut achevée en un an et quelques mois. Ce succès
éclatant accéléra de façon impressionnante l’unité et l’unanimité qui, déjà, faisait jour autour de sa
personne façonnant ainsi durablement l’organisation de la Mouridiyah après la disparition du
Cheikh.
Au point de vue économique, l’âme profondément paysanne de Cheikh Moustapha alliée à un
esprit d’entreprise et d’organisation élevé permirent à la communauté mouride de produire des
résultats agricoles considérables. Ainsi la production arachidière qui était estimée aux environs de
20 000 tonnes au début des années 30 passera en 1937/38 à 75 000 tonnes soit une progression
marginale de 275%. Le Chantier confié à la Société des DRAGAGES, il fut officiellement procédé à
la pose de la première pierre de la Mosquée le vendredi 4 mars 1932. Mais, malgré la célérité des
travaux, les années de peste meurtrière, la récession mondiale des années 30 se jugulant aux
perturbations de la seconde guerre ralentirent considérablement leur progression. Et c’est dans ce
contexte de profonde crise et de graves difficultés économiques que s’éteignit le vendredi 13 juillet
1945 (3 Sha’bân 1364 H) Cheikh Mouhamadou Moustapha confiant à ses suivants la perpétuation
de l’oeuvre colossale entreprise pendant plus de 18 ans. Mais s’il reste à jamais vrai que DIEU TRESHAUT
ne peut oublier la rétribution de ceux qui combattent « avec leurs biens et leurs personnes » sur
Son sentier, Mouhamadou Moustapha aura alors mérité son Agrément et son Election, la
Reconnaissance du Prophète de l’ISLAM (PSL) et celle de Khadimou Rassoul.
Mieux, tous ceux qui, aujourd’hui, se réclament du Serviteur du Prophète ou toute personne tenant
sincèrement au rayonnement de la Parole de DIEU TRES-HAUT sur terre doit une fière chandelle à
ce Digne Socle de l’Edifice de la Foi et de la Vertu…

source:admin (toubadaroukhoudoss.


sabato 9 novembre 2013

SERIGNE MBACKE SOKHNA LO


Serigne Mbacké Sokhna LO est né en 1934 à Naïdé Mbacké. La naissance de ce premier fils de Gaïndé Fatma provoqua un émoi de la part de son illustre grand père Cheikh Moustapha al Karim, premier Khalife de Cheikhoul Khadim, qui prédît en lui un destin de bâtisseur du village de Taïf. Il entama ses humanités coraniques auprès de ce dernier à Taïf, avant d’aller continuer ses études pour la mémorisation du livre Saint a Darou Rahmane auprès de Serigne Ibra Dieng dont l’érudition est restée célèbre. Ce fut ensuite la Mauritanie et l’Algérie qui l’accueillent pour parfaire sa formation. Ce qui a fait certainement de Serigne Mouhamed Mbacke un grand érudit doublé d’un homme de culture ouvert au monde. Ce visionnaire politique et économique avait de par ses qualités d’homme de science tissé des relations cordiales avec des « grands » de ce monde. Il a su entretenir fructifier et élargir les relations que Gaïndé Fatma avait tissées partout dans le monde. Ce qui a fait que Serigne Mbacké Sokhna Lo comptait des amis partout y compris des chefs d’Etats, des Responsables politiques, des hommes d’Affaires mais aussi des milliers de disciples et sympathisants a travers le monde. Ce sera l’occasion de rappeler les qualités de l’homme de culture qui avait mis son intelligence et sa fortune au service de sa patrie et de l’Islam. En effet Cheikh Mouhamed Mbacké qui, durant toute sa vie a gardé ce que l’homme a de plus noble, sa dignité. « Un Visionnaire, un Patriote, un Guide Religieux hors pair » Serigne Mbacké Sokhna Lo était un chef religieux qui a assumé tout au long de sa vie avec la plénitude de sa dignité et de sa mission sacerdotale, sa fonction de chef spirituel pleinement engagé a la promotion de tous les aspects de la vie au Sénégal. Comptant des « talibés » dans toutes les chapelles politiques, il aimait se placer dans une position de stricte neutralité. « Je ne suis d’aucun parti politique, ni ne soutien aucun candidat. Ma seule préoccupation, c’est que le Sénégal aille de l’avant. Je suis avec quiconque pose des actes pour faire avancer notre pays ». Sa mission fondamentale était d’œuvrer pour un Sénégal prospère et fort dans une Afrique unie respecté a l’intérieur comme à l’extérieur. Sa vaste culture, sa sagesse, sa générosité, son amour du travail étaient tels que nombreux sont ceux qui aimaient sa compagnie. Par ailleurs, c’est là ou Serigne Mbacké a réalisé des merveilles, il a donné un cachet particulier aux activités de la Fédération des Groupements Religieux et Culturels des disciples de Cheikh Ahmadou Bamba, créé par son illustre ascendant Serigne Cheikh Gaïndé Fatma. En effet, ces entités (Sections, Willaya jeunes et femmes) qui s’identifient aux villages et villes de leurs membres, sont des véritables organisations de développement économiques, culturelles, éducatives et sociales, d’où à leurs actifs l’implantation de plusieurs écoles dans toutes les localités du pays et de la sous région, le développement d’activités agricoles, d’élevage etc. au profit de ses membres qui n’ont pas un emploi rénuméré. « Le plus grand éducateur et le plus grand moralisateur » Il saisissait toutes les occasions surtout lors des moments de rassemblement pour recevoir tour a tour les dahiras et organisations, des groupes de disciples venant de partout du pays et même de l’étranger pour raffermir leur foi. En éducateur humble Serigne Mouhamed Mbacké recevait les disciples et les entretenait de Dieu et de son Prophete en leur rappelant les vertus qui sont les seules aptes à faire d’eux des mourides sincères. Il insistait beaucoup à ce que la solidarité et l’entraide soient les piliers, la base d’action de toutes les fédérations de disciples qui sont sous sa charge. Pour Serigne Mouhamed, les recommandations de Serigne Touba sont celle de Dieu, il les respectait scrupuleusement et les faisait aussi suivre à l’ensemble de ses disciples. Partout où il passait il semait la foi, l’amour du travail et de son prochain dans les sentiers de Dieu conformément à ceux qui l’ont précédés. Il demeurait ainsi un défenseur sans faille des valeurs mourides, tout en se référant en toute occasion au fondateur de la confrérie. Il devenait ainsi le plus grand éducateur et le plus grand moralisateur de son époque. Ses nombreux prêches peuvent en témoigner. Partout où il est passé dans le pays et à l’étranger le cheikh a revigoré la foi musulmane, redonné aux talibés leur dignité et leur personnalité. Tous ceux qui, parmi les disciples, ont épousé ces valeurs se présentent aujourd’hui comme la souche la plus dynamique, la plus disciplinée, la plus ardente au travail dans la communauté mouride. Ce qui explique en grande partie l’adhésion massive des intellectuels dans ses différentes organisations. « Un monument de générosité » Serigne Mbacké était d’une générosité et d’une grandeur de cœur inégalables. Il savait régler les problèmes qu’on lui soumettait sans calcul aucun. Pour lui la générosité ne se limite pas à ce qu’il appelait « faire son devoir » car, selon lui, aider son prochain est un devoir naturel et ne peut pas être considéré comme de la générosité. Son entendement de la générosité était plus large et allait jusqu'à aider des gens dont on est surs ne disent pas la vérité par rapport à leur requête. Borom Taïf était un exemple. Il faisait de la sorte que tous ceux qui vivaient dans sa maison lui était proches. Aucune barrière, aucun intermédiaire n’existait entre sa famille, ses talibés et lui. Il discutait avec tout le monde, se préoccupait des problèmes des uns et des autres. L’ambiance des « khadara » (veillées nocturnes où le marabout discutait librement avec les hôtes et les membres de la famille) était toujours bonne. Serigne Mbacké à l’image de son illustre père Gainde Fatma, était généreux, un homme de bien qui transcendait tous les clivages confrériques et même ethniques pour se mettre à la disposition de l’homme tout court : « ma mission ici bas consiste à aider les nécessiteux » rétorquait – il souvent à ceux qui reprochaient ses largesses. « Tout ce qui me tombe sur la main je n’hésiterai pas à le redistribuer, tout ce que vous ne voulez pas que je donne, ne me le remettez pas ». Telle était sa vision, sa philosophie des choses. « Un grand homme s’en est allé » Serigne Mouhamed semblait nous préparer à cette triste réalité en nous désignant à mainte reprise celui qui allait prendre la relève, son frère Serigne Abdoul Fatah Mbacké à qui nous prions pour qu’Allah le garde longtemps parmi nous afin qu’il puisse perpétuer l’œuvre colossale que lui a légué ses prédécesseurs. Il savait qu’il allait partir et à essayer de nous le dire lors de sa dernière sortie en public mais il était si vivant que jamais l’esprit d’aucun talibé n’a frôlé la question de la disparition imminente de celui que nous appelions affectueusement « Borom Taïf ak Baïla ». Aujourd’hui comme pour lui témoigner leur gratitude, ses « fils spirituels » perpétuent le souvenir d’un saint, d’un érudit incomparable et d’un serviteur infatigable de Dieu, dans ses dahira et ses daaras de : Guérlé, Nabodji, Darou Salam darma, Baïla etc. D’une silhouette et d’une prestance doublée d’un charisme impressionnant, d’une belle figure radieuse qu’illuminait un sourire si doux, l’ombre de Serigne Mbacké Sokhna Lo plane à jamais sur ce village de Taif qu’on imagine difficilement sans lui, tant il faisait corps avec l’ambiance des lieux. Et c’est tout naturellement que son mausolée, qui ne désemplit jamais, est situé à la devanture de la résidence Cheikh Moustapha, bâtie à hauteur de milliards dans ce bourg fondé il y a plusieurs décennies par son grand-père, tranchant avec le décor rustique de ce village qu’il q servi jusqu'à son dernier souffle. A l’âge de 71ans, Serigne Mbacké est parti pour ne plus revenir, laissant pantois un peuple abasourdi, encore incrédule d’avoir compté dans ses rangs un homme d’une telle dimension. Une véritable icône. Au paradis, à coté de Cheikh Mouhamadou Moustapha, celui qui fut son repère et guide, il doit gouter avec félicité la récompense promise par le Seigneur à ceux qui ont persévéré dans la droiture et accomplissait de bonnes actions uniquement pour la face de Dieu. Tout de meme il y a une atténuation à notre détresse quand nous savons qu’il est « parti sans partir ». Il est resté dans Serigne Fatah et serigne Ndiagne.
SOURCE: daroukhoudoss.org

HISTOIR MAGAL DAROU KHOUDOSS


Arrivé à TOUBA, ces personnes étaient à la place de la mosquée pour l'événement :Mame THIERNO Birahime MBACKE,Serigne FALLOU MBACKE, Serigne BASSIROU MBACKE, Serigne M'backé BOUSSO,Serigne Ndame Abdou RAHMANE LO, Serigne Mohamadou Lamine GA...YE Diamooye, Serigne Bara GAYE khary FALL,Serigne Mor Mbaye CISSE Diass, Serigne Mohamadou Lamine DIOP dagana, Serigne Cheikh khary DIENG, Serigne Makhtar Samba DIOP, Serigne Makhtar SYLLA, Chérif Mouhamadane TANDAKHIOU, Serigne Ibra NDAO, Serigne Mamour DIAKHATE,Serigne Abdoulaye DIOP Lewna.............Je reviendrai sur les 14 talibés restants nom pour nom....

Serigne Ibra NDAO et Serigne Mamour DIAKHATE ont procédé au creusage...

Serigne MBACKE BOUSSO a présidé à la prière mortuaire.Il y'a une version qui précise que Serigne Mbacké BOUSSO n'a pu terrminer la prière pour cause d'émotion et que Serigne Mohamadou Lamine GAYE Diamooye a terminé cette prière....

Serigne TOUBA Cheikh Ahmadou BAMBA a vécu 75 ans...

Serigne TOUBA précise que c'est ce jour là qu'il veut qu'il soit son meilleur( REF :Serigne BAMBA dit dans MAWAHIBOU RAHMANE :"Rabbi Ijhal xayra ayaamii yawma alxaa ka SEIGNEUR fait de mon meilleur jour celui auquel je viendrai à votre rencontre pour ma rétribution".

Cheikh Moustapla al KARIM précise que lorsqu'il a pénètré dans la fameuse chambre du Cheikh et qu'il a trouvé SERIGNE BAMBA dans la fameuse position, il y'avait ; posé sur sa poitrine ce xassida nommé XAATIMATOU MOUNAA JAATE BIL XATTI ainsi qu'une feuille seule sur laquelle était écrit "Je suis venu de DIEU et j'Y retourne(INAA LIL LAAHI WA.......),ainsique quelque dernières recommandations d'usage en vers son fils ainé en direction de la communauté.

Dans ce XASSAIDE précité Serigne TOUBA raconte que pour l'évenement de son retour à sa dernière demeure de TOUBA,le Prophète MOHAMAMED,les Anges les Plus rapprochés du SEIGNEUR ainsi que la KAABA seront présent.....

Mieux, à chaque anniversaire du même événement ILS refont la même chose et heureux sont ceux qui du fait qu'ils les trouvent à Touba les cotoient jusqu'au lever du jour.

CHEIKH MOUSTAPHA Insiste et dit celui qui passe la nuit de 20 MUHARAM à TOUBA dans les conditions de déférences aux prescriptions sera complétement lavés de l'ensemble de ses péché et se retrouve comme un nouveau né....

TOUS les Jours de Magal sont bons mais admettons que le jour qu'indique SERIGNE TOUBA à travers son fils et premier Khalif et que nous venons de survoler brièvement, devrait mieux être compris et accepté si les Talibés ne cherchent que la béatitude.

Le Magal 20 muharam a été indiqué pour la première fois en 1936 par Cheikh MOUSTAPHA.Sa première célèbration à grand format a eu lieu en 1937, l'année suivante et ceci a continué et a pris finalement le nom de Magal gou mague gui et CHEIKH MOUSTAPHA avait précisé à Serigne Mor Diandam DIOP, son talibé,parent et aussi conseiller qu'aucun service ne vaut l'absence d'un talibé de TOUBA le jour du 20 Muharam ; même si c'est moi(khalif de Serigne TOUBA) qui vous confie ce service.

La célèbration du 20 Muharam est allé crescendo et n'a pas baissé de rhythme pendant toute la vie de Cheikh MOUSTAPHA qui a rejoint son Marabout et Père à la place de la mosquée en 1945.Cheikh MOUHAMADOU FADEL,son frère et successeur au Califat va continuer cette célèbration jusqu'en 1947.CHEIKH Mouhamadou FADEL a eu Ordre de faire célébrer le 18 SAFAR comme Magal .........

REGARDONS BIEN LE WOLAFAL DE SERIGNE MOUSSA KA sur le magal de 20 Muharam et l'on comprendra beaucoup de chose.

De toute façon yiw wou barri mi ngui raw gnou bari.POURQUOI?..
SOURCE: serigne mb lo


NOUS Y REVIENDERONS

sabato 2 novembre 2013

TASAWUF( تصوف ) SES METHODES ET SES FINALITES

Le tasawuf est un programme complette pour une sociètè qui favorise les vèrtues,car il incite  à la pèrfèction des moeurs ,à l'education sprituellle et au respect de la religion et de la sociètè humaine.L'eductaion sprituelle est la discipilne qui permet d'enlever l'ame humaine jusqu'à sagesse,pui soumet la volontè du sèrviteur à la volontè du Segnieur.

Dans cette periode de crise de valeur, nous envons besoin de l'ensegnement SOUFI , car l'occidentalisation des moeurs et de la culture crèent la confusion dans l'intelect musulman.

Les principes islamique et la rèalitè quotidienne du musulmen sont en disharmonie, ce qui suiscite des incomprehensions et met certains en opposition avec leur religion et leur culture. Or ,pour fair la symbiose entre la conscience religieuse et les rèalitès du monde contemporain, il faut nècessiarement acquèrir la sagesse.C'est  justement la proposition du TASAWUF.

Il s'agit d'ètablir une relation saine entre la religion et la vie sociale,entre l'èthique et la politique,et entre les valeurs sprituelles et les rèalitès èconomiques.
Il faut aussi distinguer la religiostè ou le formalisme religieux de la spritualitè ou des valeurs religieux.
ALLAH dit dans le CORAN:<< O VOUS QUI CROYEZ ,BEAUCOUP DE RABBINS ET DE PRETRES ABUSENT DE LEUR CONDITION ET PROFITTENT DU BIEN DES CROUANTS EN TOUTE IMPUNITE,ET DETOURNENT AINSI LES GENS DE LA VOIE DIVINE, AURONT UN CHATIMENT TERRIBLE.>>

Le Coran a prèvenue contre deux vices qui ont souvent corrumpus les civilisations antèrieurs.

-L'utilasation du sacrè pour le profit personnel et ainsi soustraire l'argent des croyants.
-L'innovation dans les principes de la religion afin de dètourner les croyants des objectifs tracès par ALLAH et son Prophete ( PSL).

La revivification de la religion est nècessaire à chaque periode comme Abou Hamid Ghzali l'a fait en son èpoque  avec son chef d'oeuvre ( ihya olum eddine).


Le projet de sagesse du Tasawuf a pour ambition de perfectionner les moeurs dans un but individuel, sociale et aussi universel.