domenica 14 aprile 2013

A LA DECOUVERTE DES FILS DE CHEIKH MOUSTAPHA AL KARIM [ SERIGNE CHEIKH GAINDE FATMA] 1 ERE KHALIF

à la decouverte des fils de cheikh moustapha 1- serigne cheikh gainde fatma




Selon l'hagiographie mouride, le premier successeur de Cheikh Ahmadou Bamba naquit le 11 du mois de Muharram de l'an 1306 de l'Hégire, à Darou Salam, correspondant au 17 septembre 1888 de l'an romain.
L'histoire rapporte qu'il fallut aller à la quête du Cheikh qui avait à cette époque l'habitude de s'absenter pendant assez longtemps dans la forêt avoisinante à la recherche du futur site de la ville de Touba.
Les émissaires le trouvèrent finalement au troisième jour de la naissance de l'enfant de Sokhna Aminata Lô dans un lieu nommé Fétto sous une averse abondante.
Mouhamadou Moustapha Mbacké fut ainsi l'aîné des enfants du Cheikh restés vivants et le frère utérin de Mouhamadou Lamine Bara Mbacké.
Il eut la douleur de perdre très tôt sa pieuse mère ayant conclu un pacte en ce sens avec le Cheikh.
Il entreprit son étude du Coran auprès de son père et dut, après le départ de celui-ci en exil en 1895, continuer ses études avec Serigne Ndame Abdou Rahmane Lô à Darou-l-Halîmoul Kabîr
Etudes qu'il poursuivit avec son oncle Cheikh Ibra Faty jusqu'au retour de Cheikh Ahmadou Bamba du Gabon en 1902.
Il fut notamment partie des disciples qui rejoignirent le Cheikh à Saout-El-Ma, en Mauritanie, et y demeura avec lui jusqu'en 1907.
Il l'accompagna aussi à Thiéyène et ne s'éloigna significativement de son voisinage qu'après le retour définitif de celui-ci à Diourbel en 1912
Lorsqu'il reçut l'ordre de fonder à 6 km de Touba le village de Husnu-l Mahâb qui n'était en ce temps qu'un petit hameau de Peulhs transhumants appelé Tindôdi.
Il fut en 1921, partie de la compagnie du Cheikh à Dakar lorsque celui-ci y alla répondre à une invitation du Gouverneur Général de l'A.O.F. C'est à lui aussi que son père remit sa participation de
500 000 F au relèvement du Franc français.
Durant toute la période de coexistence avec son père et maître, Cheikh Mouhamadou Moustapha se distingua par un dévouement et une détermination dans le service qu'il lui consacrait,...
Tels qu'il arriva souvent au Cheikh de mettre publiquement en exergue son engagement et son esprit de sacrifice que tout disciple lui enviait. On ne comptait pas les copies de mémoires du Saint Coran que le fils effectua pour le père ni les tonnages de récolte dont il lui fit don.
Lors du rappel à DIEU du Serviteur du Prophète, le 19 juillet 1927, Cheikh Mouhamadou Moustapha fit une fois de plus montre de ses vertus de lucidité et de tempérance, après avoir personnellement constaté le décès, en organisant dans une discrétion absolue son inhumation à Touba, selon les voeux du disparu.
Après sa désignation le 25 juillet 1927, le premier Calife du assurer la relève en s'attelant particulièrement à la construction de la Mosquée de Touba; projet qui tenait réellement Cheikh Ahmadou Bamba à coeur.
Malgré des débuts marqués par des difficultés de tous ordres, dont la plus dure fut assurément l'opposition de nombre de dignitaires de la Communauté à son califat,...
Cheikh Moustapha s'avéra rapidement être un Calife de grande intelligence soutenue par une vaste culture et une conformité sans faille aux enseignements du Cheikh se traduisant notamment par un courage, une dignité et une générosité qui resteront légendaires.
C'est lui qui, à la disparition de leur père, s'était chargé de l'éducation de presque tous ses frères et soeurs. Beaucoup d'entre eux vécurent avec lui et le Calife n'épargna, selon les témoignages de ses frères mêmes, aucun effort pour leur bien-être
Allant même jusqu'à leur désigner, une fois devenus adultes, leur premier lieu d'installation en ne manquant jamais de leur fournir l'aide matérielle nécessaire aux premiers pas dans la vie.
Ce fut également un excellent administrateur, un authentique homme de terrain. En 1928, il obtint l'immatriculation d'un terrain de 400 hectares sis à Touba.
Il demanda, au début de 1929, l'autorisation de reprendre la construction de la Mosquée dont l'irresponsabilité et la cupidité de l'Administrateur Occidental désigné avaient mis les travaux en cause.
A l'issue d'un long procès à rebondissements dans les tribunaux parisiens, l'Administrateur Tallerie eut injustement gain de cause et la communauté mouride se vit contrainte de lui payer la somme faramineuse de 250 000 francs comme dommages et intérêts pour dédit et préjudice sur rupture de contrat.
D'autres obstacles auxquels le chantier de la Mosquée eut bientôt à faire face furent : l'acheminement du matériel de construction à Touba face à l'inexistence de réseau de communication,...
La rareté des matériaux tels que la latérite dans cette zone, la profondeur de la nappe phréatique (à plus de 25 m) posant de façon cruciale le problème de l'eau etc.
La découverte de la carrière de Ndock, à une dizaine de kilomètres au Sud de Touba, permit de résoudre le problème de la latérite.
L'engagement total de dizaine de milliers de volontaires, le dévouement indescriptible de milliers de jeunes, femmes et adultes travaillant plus de 18 heures par jour, transportant dans des paniers posés à même la tête ou sur charrettes d'énormes blocs de pierres sur une dizaine de kilomètres,...
Toute cette formidable énergie déployée dans la sueur et dans le sang (car on ne compta pas alors les décès) accélèrent l'achèvement des fondations et l'empierrement de la plate-forme de la future mosquée.
Pour résoudre le problème des voies de communication Cheikh Mouhamadou Moustapha entreprit, malgré l'incrédulité des autorités publiques, le financement et la réalisation sur fonds propres d'un tronçon d'une cinquantaine de kilomètres de voie ferrée qui allait relier Diourbel à Touba via Mbacké à partir d'un embranchement du Dakar-Niger.
Avec toujours la détermination extraordinaire de milliers de disciples, des "Baye Fall" sous le commandement de leur Calife Serigne Moustapha Fall, fils aîné de Cheikh Ibrahima Fall, et les autres Cheikhs, la durée de réalisation de cette initiative inédite dans l'histoire pulvérisa toutes les prévisions et fut achevée en un an et quelques mois.
Ce succès éclatant accéléra de façon impressionnante l'unité et l'unanimité qui, déjà, faisait jour autour de sa personne façonnant ainsi durablement l'organisation de la Mouridiyah après la disparition du Cheikh.
Au point de vue économique, l'âme profondément paysanne de Cheikh Moustapha alliée à un esprit d'entreprise et d'organisation élevé permirent à la communauté mouride de produire des résultats agricoles considérables. Ainsi la production arachidière qui était estimée aux environs de 20 000 tonnes au début des années 30 passera en 1937/38 à 75 000 tonnes soit une progression marginale de 275%.
Le Chantier confié à la Société des DRAGAGES, il fut officiellement procédé à la pose de la première pierre de la Mosquée le vendredi 4 mars 1932.
Mais, malgré la célérité des travaux, les années de peste meurtrière, la récession mondiale des années 30 se conjuguant aux perturbations de la seconde guerre ralentirent considérablement leur progression.
Et c'est dans ce contexte de profonde crise et de graves difficultés économiques que s'éteignit le vendredi 13 juillet 1945 (3 Sha'bân 1364 H) Cheikh Mouhamadou Moustapha confiant à ses suivants la perpétuation de l'oeuvre colossale entreprise pendant plus de 18 ans.
Mais s'il reste à jamais vrai que DIEU TRES-HAUT ne peut oublier la rétribution de ceux qui combattent "avec leurs biens et leurs personnes" sur Son sentier,...
LUI qui a promis dans Son Saint Livre:
"En vérité, Je ne perds jamais de vue l'oeuvre de celui qui fait le bien, qu'il soit homme ou femme (...) Ceux qui se sont expatriés pour Ma Cause, qui ont combattu, qui ont été tués,...
"Je leur pardonne leurs mauvaises actions et les ferai entrer dans les Jardins arrosés par des ruisseaux, à titre de Récompense Divine; certes DIEU dispose de la plus belle Récompense"
En vertu de cette divine Promesse, Mouhamadou Moustapha aura alors mérité son Agrément et son Election, la Reconnaissance du Prophète de l'ISLAM (PSL) et celle de Khadimou Rassoul.
Mieux, tous ceux qui, aujourd'hui, se réclament du Serviteur du Prophète ou toute personne tenant sincèrement au rayonnement de la Parole de DIEU TRES-HAUT sur terre doit une fière chandelle à ce Digne Socle de l'Edifice de la Foi et de la Vertu...



sabato 13 aprile 2013

MAGAL DE DAROU KHOUDOSS


MAGAL DE DAROU KHOUDOSS

























MAGAL DE DAROU KHOUDOSS


                 JUST POUR VOUS FAIR CONNAITRE CET EVENEMENT

 Cheikhoul Khadim, le fondateur du mouridisme a quitté ce bas monde le 19 juillet 1927, qui concorde avec le 19 Mouharram 1346 Hégire. C’est alors que son premier Khalife Cheikh Mouhamadou Moustapha entrepris de perpétuer l’œuvre colossale entreprise par son père.



Origines et significations :

Origine du Magal :

Cheikhoul Khadim a quitté ce bas monde en 1927 c’est alors que son premier Khalife Cheikh Mouhamadou Moustapha entrepris de perpétuer l’œuvre colossale entreprise par son père. Telle une feuille de route Serigne Touba lui dicta la conduite à tenir. C’est ainsi qu’en présence de Serigne Massamba, il demanda à Cheikh Moustapha de regrouper toute la communauté mouride à la date qu’il lui a indiqué. C’est en 1937 que Cheikh Moustapha demanda après Serigne Massamba Mbacké on lui répondit qu’il est en voyage il demanda qu’on aille le quérir. La mission le rattrapa à Louga.



A l’arrivée de cheikh Massamba, Cheikh Mouhamadou Moustapha exhiba un papier qu’il lui montra. C’est sur ce papier que Serigne Touba consigna la recommandation du Magal en ces termes : pendant cette nuit, le Prophète (PSL) ses compagnons, les anges les plus rapprochés (Mukharaboun) comme ils l’avaient fait en 1927 reviennent célébrer cet événement à Touba jusqu’au matin. Bienheureux est celui qui le fera avec eux à Touba car le matin ils auront la rédemption de l’ensemble de leurs péchés.

Historique du Magal :

Le magal de Darou khoudoss est célébré chaque annee le 20eme jour du mois lunaire Tamkharit. La première célébration officielle a été effective en 1937. La dite célébration n'a connu d'interruption qu'en 1945 suite a la demande de l'administrateur colonial auprès de cheikh Moustapha car cette date avait coïncide avec l'organisation d'élections. De 1945 a nos jours aucune autre interruption n'a été notée sur l'organisation. Apres 1945 Serigne Cheikh Ahmadou Mbacké fils aine de Cheikh Mouhamadou Moustapha a continue la célébration jusqu'en 1978, année de sa disparition. Serigne Mbacke Madina l'a organise de 1978 a 1985. Serigne Aliou Mbacke reprend le flambeau jusqu'en 1998 pour le passer a Serigne Khadim qui l'organise jusqu'en 2004. Depuis cette année la celebration du magal est organise par Serigne Ahmadou Makhtar actuel khalif de Cheikh Mouhamadou Moustapha. Tous ces khalifs ont successivement utilisé les structures de Dahiras pour faire fonctionner à plein le magal.

Pour éclairer d'avantage sur l'origine du jour, son objet, les actions de grâce et autres recommandations utiles on se réfère au discours prononcé par Cheikh Moustapha à l'occasion du Magal de Darou Khoudoss en 1939.











LES 2 TAIF. 1- TAIF D'ARABIE SAUDITE 2-TAIF MBACKE SENEGAL



Masjid Abdullah ibn Abbas Mosque interior view - Taif, Saudi Arabia مسجد عبد الله بن العباس

Masjid Abdullah ibn Abbas Mosque interior view  - Taif, Saudi Arabia مسجد عبد الله بن العباس





taif est une ville d'arabie saudite dans les montagne de l'ouest du pays,region du hedjaz.
Elle est environ à 65 km de l'est de la mecque et à 130 km de l'est de la ville portiere de djedda.Situe à une altitude de 1450., la ville compte environ 581967 habitants.Chaqu'ete le gouvernement saudien se transfere de riyad a taif. Taif est aussi une centre agricole d'une grande imporatance ou on cultive beacoup des fruits .










Taif mbacke un village fonde par cheikh mouhamadou moustapha mbacke 1er khalif de khadim rassoul en 1939.Elle compte environ 3062ames et 350 concessions,perdu dans la brousse à27 km de touba mbacke.Il a ete fonde pour allimenter les travaux de la grande mosquee , un village ou on pratque l'agriculture et l'elevage. C' est pas un hsard que serigne fallou mbacke l'a donne le nom de taif pour le role que les deux cites ont sur l'islam et le mouridisme.






POSE DE LA 1 ERE PIERRE DE LA GRANDE MOSQUEE DE TOUBA

POSE DE LA 1 ERE PIERRE DE LA GRANDE MOSQUEE DE TOUBA

 Les dernières paroles d’un père à un fils sont toujours précieusement gardées en tête. C’est peut-être ce qui explique la détermination avec laquelle Cheikh Mouhamadoul Moustapha Al Karim a tenu à construire la grande mosquée de Touba. D’après certains écrits, Cheikh Ahmadou Bamba Mbacké mettait en garde sa famille à propos de la mosquée de Touba en ces termes : «vous qui êtes miens, si vous ne réalisez pas ma mosquée à Touba, Dieu enverra des créatures sur terre qui la construiront». Par conséquent, après le décès du Cheikh, le nouveau khalife, alors âgé de moins de 42 ans, concentra toute sa force et son énergie à la construction de la mosquée de Touba qui avait vu, dès 1926, son autorisation retirée par l’administration coloniale. Avec détermination, Serigne Modou Moustapha Mbacké va obtenir une autorisation de construire. Ce, après plusieurs tractations et suite au procès en France contre Tallerie. La nouvelle demande d’autorisation est écrite par Ibra Fall Bourry (en francais).

De la construction du chemin de fer à la Mosquée de Touba
Après avoir reçu l’autorisation de construire la mosquée, Cheikh Moustapha a pris langue avec une vieille connaissance, en l’occurrence un traitant français du nom de M. Lalane, qui a amené à Diourbel des ingénieurs français qui esquissaient une étude de faisabilité et exprimaient des besoins concernant les pierres et autres matières premières à rechercher loin de Diourbel. La poursuite de cette étude aboutit finalement à l’expression du besoin d’un chemin de fer qui partira de Diourbel à Touba, pour conduire divers matériaux à Touba. Déterminé à débuter la construction de la mosquée, le marabout accepte toutes les conditions des Blancs. La construction du chemin de fer, pour acheminer le matériel à Touba, est entamé. Les travaux débutent, d’après Ibrahima Fall Madior, le 11 novembre 1929, devant le directeur du chemin de fer, M. Chardi, établi à Thiès, et prennent fin en février 1931. La construction de la grande mosquée peut alors démarrer. Cheikh Moustapha travaillera sur ce chantier sans répit et sans arrêt du 04 mars 1932 en septembre 1939, lors de l’appel officiel de la Deuxième guerre mondiale. Au moment de l’arrêt, la mosquée avait déjà les quatre façades achevées, la terrasse était prête et les ossatures des quatre minarets étaient entamées. Certaines avaient une partie déjà coulée, d’autres étaient en fer dressé.

Foi inébranlable et culte du travail en bandoulière
Du côté matériel, les pierres de Ndock étaient en quantité suffisante, près de la mosquée, ainsi que le ciment et le fer, et une importante somme d’argent était épargnée à la banque. Que de contraintes dans ce projet de construction de la grande mosquée de Touba. Mais il n’a jamais baissé les bras. Au contraire, à chque fois qu’il rencontrait un obstacle, cela lui donnait encore plus de détermination à réaliser ce voeu de son père. Au finish, le Toubab avait la certitude que rien ne pouvait arrêter la marche de Cheikh Mouhamadou Moustapha et des mourides soudés derrière lui vers l’édification de cette mosquée qui comptait plus que tout pour eux. Et d’après les écrits, le matériel de construction du chemin de fer tout comme celui de la mosquée était fourni intégralement par les industriels français, le riz et l’huile qui nourrissaient la main d’œuvre, le sucre et le café étaient commandés en France. L’entrée en guerre de la France en 1939 qui a débouché sur la mobilisation au Sénégal n’a rien changé dans les projets du nouveau khalife. La mobilisation des hommes valides pour aller libérer la France sous occupation coûtera au Sénégal un lourd tribut. Par exemple, Serigne Fallou Fall, fils de Mame Cheikh Ibra Fall et tant d’autres ne reviendront pas de cette guerre. Tous morts au front. L’argent réclamé par les Blancs est rapidement collecté. Pour la main d’oeuvre, d’autres Cheikhs ont envoyé leurs hommes. Le tout dans une harmonie et le respect de la dignité humaine.

Transfert des restes de Khadimou Rassoul à Touba
L’autre acte majeur posé par le 1er khalife de Serigne Touba a été le transfert de la dépouille mortelle de son père. À ce propos, les écrits racontent aussi que son père lui avait dit : «dès que ma vie cessera sur terre, par la volonté de Dieu, ramenez-moi à Touba sans coup férir». Et d’ajouter : «si vous réalisez ces désirs-là, tout ce que vous entamerez dans le futur comme projet, je le réaliserai moi-même». En visionnaire, il s’était imaginé ce qui se serait passé si jamais sa dépouille était acheminée à Paris, à Marseille ou en Corse. On serait en train de parler du grand Magal de Corse, de Paris ou de Marseille. C’est ainsi que pour retourner Serigne Touba à sa dernière demeure, en 1927, Serigne Mouhamadou Moustapha, fils aîné et principal concerné, a pris sur lui la responsabilité d’agir sans consulter personne. Le commandant-résident de Diourbel, Edmond Pall, a été piégé par Serigne Modou qui l’invita dans la concession du Cheikh à Diourbel et lui montra l’important dépôt d’argent qui y était. Cheikh Moustapha l’informa également, cette nuit de mardi, du décès de Serigne Touba et lui demanda d’évacuer tout cet argent à sa résidence avant que les mourides ne soient au courant de la mauvaise nouvelle et mettent la concession sans dessus-dessous. Edmond Pall informera son supérieur de Kaolack qui rappliqua dare-dare. Ensemble, ils s’évertuèrent à comptabiliser tout cet argent, à faire les scellés et à dresser un procès-verbal.



FORMATION DU 1 ER BUREAU DU DAHIRA DE GAINDE FATMA EN 1941


                   FORMATION DU 1 ER BUREAU DU DAHIRA DE GAINDE FATMA EN 1941




serigne cheikh gaide fatma est un homme digne,honorable,èlègant en pensées et en spritualitè,un homme exemplaire de foi en DIEU, de son amour à khadimou rassoul, travailleur ,educateur,(xam xam xamouma bokouci disait il) constuicteur,patriotique et inventeur etc..............
à 28 ans il inventais le DAHIRA. c'etait en 1941 alor que cheikh mouhamadou moustapha etait khalif de khadimou rassoul. tout le monde, les talibès de toutes les confreries lui doivent un grand merci . Iinventeur et promateur indiscutable du dahira(une structure basèe sur l'islam la solidariète et le travail en commun pour le destin du pays.
Voici la foramtion du 1 premie bureau du dahira (DUWANOUL MOURIDINI LI KHIDMATI KHAYRIL ALAMINE)


DIRECTEUER HONORAIRE:      CHEIKH MOUSTAPHA AL KARIM.                                                                                              
                                            CHEIKH MOUHAMDOUL FADEL.                                                                    

ADJOINT:                             CHEIKH ABDOUL AHAD   CHEIKH ABDOULAHI BOROM DEURBI.          
                   CHEIKH SALIOU MBACKE, SERIGNE SOUHEYBOU MBACKE, SERIGNE AMSATOU DIAKHATE, SERIGNE MBACKE BOUSSO, SERIGNE MOURTDA SERIGNE ISSA DIENNE, SERIGNE MAD LO DAGNA SERIGNE ABDOU KHADER MBACKE.

DIRECTEUR GENERALE CHARGE DU GRAND MAGAL:   SERIGNE BASSIROU MBACKE                      

REPRESANTANTS:
SERIGNE CHEIKH GAINDE FATMA  

ADJOINT:  SERIGNA MBACKE MADINA.          

                   c'est juste pour en citere quelques personnes, vrement un bureau de rève....
gaide fatma disait( j'ais pas vu un chemin piu court pour arriver à DIEU que le dahira



CHEIKH MOUHAMADOU MOUSTAPHA( 1 ERE KHALIF DE SERIGNE TOUBA

CHEIKH MOUHAMADOU MOUSTAPHA( 1 ERE KHALIF DE SERIGNE TOUBA
                                                       



Selon l'hagiographie mouride, le premier successeur de Cheikh Ahmadou Bamba naquit le 11 du mois de Muharram de l'an 1306 de l'Hégire, à Darou Salam, correspondant au 17 septembre 1888 de l'an romain.
L'histoire rapporte qu'il fallut aller à la quête du Cheikh qui avait à cette époque l'habitude de s'absenter pendant assez longtemps dans la forêt avoisinante à la recherche du futur site de la ville de Touba.
Les émissaires le trouvèrent finalement au troisième jour de la naissance de l'enfant de Sokhna Aminata Lô dans un lieu nommé Fétto sous une averse abondante.
Mouhamadou Moustapha Mbacké fut ainsi l'aîné des enfants du Cheikh restés vivants et le frère utérin de Mouhamadou Lamine Bara Mbacké.
Il eut la douleur de perdre très tôt sa pieuse mère ayant conclu un pacte en ce sens avec le Cheikh.
Il entreprit son étude du Coran auprès de son père et dut, après le départ de celui-ci en exil en 1895, continuer ses études avec Serigne Ndame Abdou Rahmane Lô à Darou-l-Halîmoul Kabîr
Etudes qu'il poursuivit avec son oncle Cheikh Ibra Faty jusqu'au retour de Cheikh Ahmadou Bamba du Gabon en 1902.
Il fut notamment partie des disciples qui rejoignirent le Cheikh à Saout-El-Ma, en Mauritanie, et y demeura avec lui jusqu'en 1907.
Il l'accompagna aussi à Thiéyène et ne s'éloigna significativement de son voisinage qu'après le retour définitif de celui-ci à Diourbel en 1912
Lorsqu'il reçut l'ordre de fonder à 6 km de Touba le village de Husnu-l Mahâb qui n'était en ce temps qu'un petit hameau de Peulhs transhumants appelé Tindôdi.
Il fut en 1921, partie de la compagnie du Cheikh à Dakar lorsque celui-ci y alla répondre à une invitation du Gouverneur Général de l'A.O.F. C'est à lui aussi que son père remit sa participation de
500 000 F au relèvement du Franc français.
Durant toute la période de coexistence avec son père et maître, Cheikh Mouhamadou Moustapha se distingua par un dévouement et une détermination dans le service qu'il lui consacrait,...
Tels qu'il arriva souvent au Cheikh de mettre publiquement en exergue son engagement et son esprit de sacrifice que tout disciple lui enviait. On ne comptait pas les copies de mémoires du Saint Coran que le fils effectua pour le père ni les tonnages de récolte dont il lui fit don.
Lors du rappel à DIEU du Serviteur du Prophète, le 19 juillet 1927, Cheikh Mouhamadou Moustapha fit une fois de plus montre de ses vertus de lucidité et de tempérance, après avoir personnellement constaté le décès, en organisant dans une discrétion absolue son inhumation à Touba, selon les voeux du disparu.
Après sa désignation le 25 juillet 1927, le premier Calife du assurer la relève en s'attelant particulièrement à la construction de la Mosquée de Touba; projet qui tenait réellement Cheikh Ahmadou Bamba à coeur.
Malgré des débuts marqués par des difficultés de tous ordres, dont la plus dure fut assurément l'opposition de nombre de dignitaires de la Communauté à son califat,...
Cheikh Moustapha s'avéra rapidement être un Calife de grande intelligence soutenue par une vaste culture et une conformité sans faille aux enseignements du Cheikh se traduisant notamment par un courage, une dignité et une générosité qui resteront légendaires.
C'est lui qui, à la disparition de leur père, s'était chargé de l'éducation de presque tous ses frères et soeurs. Beaucoup d'entre eux vécurent avec lui et le Calife n'épargna, selon les témoignages de ses frères mêmes, aucun effort pour leur bien-être
Allant même jusqu'à leur désigner, une fois devenus adultes, leur premier lieu d'installation en ne manquant jamais de leur fournir l'aide matérielle nécessaire aux premiers pas dans la vie.
Ce fut également un excellent administrateur, un authentique homme de terrain. En 1928, il obtint l'immatriculation d'un terrain de 400 hectares sis à Touba.
Il demanda, au début de 1929, l'autorisation de reprendre la construction de la Mosquée dont l'irresponsabilité et la cupidité de l'Administrateur Occidental désigné avaient mis les travaux en cause.
A l'issue d'un long procès à rebondissements dans les tribunaux parisiens, l'Administrateur Tallerie eut injustement gain de cause et la communauté mouride se vit contrainte de lui payer la somme faramineuse de 250 000 francs comme dommages et intérêts pour dédit et préjudice sur rupture de contrat.
D'autres obstacles auxquels le chantier de la Mosquée eut bientôt à faire face furent : l'acheminement du matériel de construction à Touba face à l'inexistence de réseau de communication,...
La rareté des matériaux tels que la latérite dans cette zone, la profondeur de la nappe phréatique (à plus de 25 m) posant de façon cruciale le problème de l'eau etc.
La découverte de la carrière de Ndock, à une dizaine de kilomètres au Sud de Touba, permit de résoudre le problème de la latérite.
L'engagement total de dizaine de milliers de volontaires, le dévouement indescriptible de milliers de jeunes, femmes et adultes travaillant plus de 18 heures par jour, transportant dans des paniers posés à même la tête ou sur charrettes d'énormes blocs de pierres sur une dizaine de kilomètres,...
Toute cette formidable énergie déployée dans la sueur et dans le sang (car on ne compta pas alors les décès) accélèrent l'achèvement des fondations et l'empierrement de la plate-forme de la future mosquée.
Pour résoudre le problème des voies de communication Cheikh Mouhamadou Moustapha entreprit, malgré l'incrédulité des autorités publiques, le financement et la réalisation sur fonds propres d'un tronçon d'une cinquantaine de kilomètres de voie ferrée qui allait relier Diourbel à Touba via Mbacké à partir d'un embranchement du Dakar-Niger.
Avec toujours la détermination extraordinaire de milliers de disciples, des "Baye Fall" sous le commandement de leur Calife Serigne Moustapha Fall, fils aîné de Cheikh Ibrahima Fall, et les autres Cheikhs, la durée de réalisation de cette initiative inédite dans l'histoire pulvérisa toutes les prévisions et fut achevée en un an et quelques mois.
Ce succès éclatant accéléra de façon impressionnante l'unité et l'unanimité qui, déjà, faisait jour autour de sa personne façonnant ainsi durablement l'organisation de la Mouridiyah après la disparition du Cheikh.
Au point de vue économique, l'âme profondément paysanne de Cheikh Moustapha alliée à un esprit d'entreprise et d'organisation élevé permirent à la communauté mouride de produire des résultats agricoles considérables. Ainsi la production arachidière qui était estimée aux environs de 20 000 tonnes au début des années 30 passera en 1937/38 à 75 000 tonnes soit une progression marginale de 275%.
Le Chantier confié à la Société des DRAGAGES, il fut officiellement procédé à la pose de la première pierre de la Mosquée le vendredi 4 mars 1932.
Mais, malgré la célérité des travaux, les années de peste meurtrière, la récession mondiale des années 30 se conjuguant aux perturbations de la seconde guerre ralentirent considérablement leur progression.
Et c'est dans ce contexte de profonde crise et de graves difficultés économiques que s'éteignit le vendredi 13 juillet 1945 (3 Sha'bân 1364 H) Cheikh Mouhamadou Moustapha confiant à ses suivants la perpétuation de l'oeuvre colossale entreprise pendant plus de 18 ans.
Mais s'il reste à jamais vrai que DIEU TRES-HAUT ne peut oublier la rétribution de ceux qui combattent "avec leurs biens et leurs personnes" sur Son sentier,...
LUI qui a promis dans Son Saint Livre:
"En vérité, Je ne perds jamais de vue l'oeuvre de celui qui fait le bien, qu'il soit homme ou femme (...) Ceux qui se sont expatriés pour Ma Cause, qui ont combattu, qui ont été tués,...
"Je leur pardonne leurs mauvaises actions et les ferai entrer dans les Jardins arrosés par des ruisseaux, à titre de Récompense Divine; certes DIEU dispose de la plus belle Récompense"
En vertu de cette divine Promesse, Mouhamadou Moustapha aura alors mérité son Agrément et son Election, la Reconnaissance du Prophète de l'ISLAM (PSL) et celle de Khadimou Rassoul.
Mieux, tous ceux qui, aujourd'hui, se réclament du Serviteur du Prophète ou toute personne tenant sincèrement au rayonnement de la Parole de DIEU TRES-HAUT sur terre doit une fière chandelle à ce Digne Socle de l'Edifice de la Foi et de la Vertu...
(SOURCE TOUBAMOURIDISMETOUBA

LES FILS DE CHEIKH MOUSTAPHA AL KARIME

LES FILS DE CHEIKH MOUSTAPHA AL KARIME
SERIGNE CHEIKH GAINDE FATMA1913/1978
SERIGNE MBACKE MADINA 1913/1985

serigne dane khary lo1918/1986
serigne aliou mbacke 1918/1998


 SERIGNE IBRA MBACKE
SERIGNE SALIOU AMBASSADEUR

SERIGNE KHADIM MBACKE1930/2004
                              SERIGNE AHMA TINDODI

SERIGNE AHMADOU MOUKHTAR 1939



SOKHNA TOUTY MBACKE



SOKHNA AMY FATY SENE



SOKHNA DABA



SOKHNNA KHADY FATMA
                               



                                                             SOKHNA KHADY FATMA


SOKHNA MAY


SOKHNA MOUSLY


SOKHNA KHOUDIA MBACKE



SOKHNA NATA MBACKE



a famille de cheikh mouhamadou moustapha al karim:
S cheikh gaide fatma 1 khalif ne en 1913khalifa de (1945-1978)
S mbacke madina 2 khalifne ne 1913 khalifa de (1978-1985 (aminta lo)
s mouhamadan mbacke (khary lo) ne 1918 khalifa (1985-1986)
s aliou mbacke .( khary mam diop) ne 1918khalifa de
1986 a1998
s ahmadou mbacke tindodi( khary mam diop)
s ibrahima mbacke (absatou)
s saliou mbacke  .......2004( khary mam diop)
s khadim mbacke(mar sylla) ne 1930 2004 khalifa de1998 a 2004
s ahmadou mokhtar ( soda diop) ne 1939
s abdou salam mbacke( khary mam diop)
s mam mor anta saly(fatma)
s mam thierno mbacke (khary lo)
s .fallou
so aischa mbacke (fatma)
so maryamou mbcake (aminta lo)
so bousso mbacke
so khadi mbacke (fatma)
so faty mbacke (khary lo)
so oumy mbacke (khary lo)
so nata mbacke (kharylo )
so mouslimatou mbacke( khary lo)
so rokhya mbacke ( faty thierno)
so amy mbacke (say ndiaye)
so amy mbacke (faty sene)
so safiyatou mbacke
so bintou mbacke thies (faty diop)
so maimounatou mbacke (soda diop)
so touty mbacke ( mam astou kan)
so faty mbacke (mareme lo)
so khoudia mbacke( soda diop)
i vous connaisez d'autrs ou les dates de naissances veillez me contacter
MCKINGTAIF@YAHOO.IT




A LA DECOUVERTE DES FILS DE CHEIKH MOUSTAPHA [ SERIGNE IBRA ABSATOU]

à la dècouverte des fils de cheikh moustapha 4-serigne ibra absatouà la dècouverte des fils de cheikh moustapha 4-serigne ibra absatouà la dècouverte des fils de cheikh moustapha 4-serigne ibra absatouà la dècouverte des fils de cheikh moustapha 4-serigne ibra absatou



Serigne Ibrahima Mbacke Hafsatou est issu de la famille precieuse et noble de Mame Maharame. Fils de Cheikh Mouhamadou Moustapha Mbacke premier khalif de Cheikh Ahmadou Bamba et de Sokhna Hafsatou Toure, ce saint homme est né en 1928 a Ousnoulmahab Tindody situé à quelques encablures de la ville sainte de Touba.

Dés le bas age ce dernier s'investit a la quête du savoir en commençant par le saint coran auprès de son fervent maitre Serigne Mor Mbaye Cisse de thies. Après la maitrise parfaite de ce texte sacre, il continua a approfondir ses connaissances en theologie jusqu'en 1945 date inoubliable marquant la disparition de son vénéré père et maitre Serigne Mouhamadou Moustapha. Ces obstacles n'ont pas du tout empêcher à cet homme assoiffé de connaissances à poursuivre ses études auprès de grands théologiens dont Serigne Modou matar Alle, Serigne Mafall Ndate, Serigne Djite, Serigne Cheikh Seye et Serigne Habibou Mbacke Imam. Apres ce long parcours sanctionné par la maitrise des contenues, Serigne Ibrahima Mbacke s'est rendu en Mauritanie en 1948 et en 1951 dans le seul but de parfaire et d'approfondir ses connaissances.

Pour la mise en valeur de ses connaissances, il créa beaucoup de dahra dont Thice, Thiakho, Kalom, Touba Naba, Touba Welingara et Touba Maleme pour le travail et la formation des disciples mais aussi pour rependre l’islam et le mouridisme.

Il effectua le pelerinage a la Mecque en 1969 et fut un saint homme, un grand intellectuel qui a ecrit des poemes en wolof dont « djougueul sa ndieul » et des articles dont « appel aux marabouts » dans etude islamique n°16 publié en decembre 1982.

Hormis son image reflétant un homme de Dieu digne et parfait, El hadji Ibrahima Mbacke était humble, ouvert mais passait surtout inaperçu.
Il fut rappelé a Dieu le vendredi 29/octobre /1993 a Touba daroukhoudoss que le tout puisant lui accorde sa miseriecorde amen..



A LA DECOUVERTE DES FILS DE CHEIKH MOUSTAPHA [ SERIGNE MOUHAMMDAN KHARY LO ] 3 EME KHALIF

A LA DECOUVERTE DES FILS DE CHEIKH MOUSTAPHA 3- serigne mouhamadan khary loA LA DECOUVERTE DES FILS DE CHEIKH MOUSTAPHA 3- serigne mouhamadan khary loA LA DECOUVERTE DES FILS DE CHEIKH MOUSTAPHA 3- serigne mouhamadan khary loA LA DECOUVERTE DES FILS DE CHEIKH MOUSTAPHA 3- serigne mouhamadan khary lo




Nous allons évoquer une partie de la vie d’une personnalité de la communauté de Cheikhoul Khadim qui fut considérée comme l’une des plus gratifiés parmi les serviteurs d’Allah. Il bénéficia de l’éducation et de la formation de son maitre et grand frère Cheikh Ahmadou Mbacké (GANIDE FATMA). Nous voulons nommer ici de CHEIKH MAHMUDANE MBACKE (khary Lo).

Sa naissance et son éducation :
Issu d’une famille célèbre et d’une noblesse reconnue, CHEIKH MAHMUDANE MBACKE fils de Sokhna Khary Lo et Cheikh Mouhamadou Moustafa Mbacké (1er calife de KHADIMOU RASSOUL), naquit en 1336 de l’Hégire correspondant à l’an 1918 de l’ère chrétienne.
De son enfance Serigne DANE fut confié à un maître coranique du nom de Serigne Ibra DIENG, dans un village nommé Darou Rahmane qui se situe au nord de la ville sainte de Touba, où il mémorisa parfaitement le Coran, en compagnie de son petit frère Serigne Aliou MBACKE (4éme calife de Darou Khoudoss).
Doté d’une intelligence incommensurable, c’est auprès de son père Cheikh Mouhamadou Moustapha qu’il entama ses études en sciences religieuses. Quelque temps après, il décida de se rendre en Mauritanie dans le but de poursuivre sa quête du savoir.
Cheikh Mahmudane MBACKE subira une formation très solide dans différentes disciplines telles que la jurisprudence, la théologie, la littérature, et la mystique musulmane jusqu’à ce qu’il devient plus tard un grand érudit incontesté.
Dés son retour de Mauritanie, il s’engagea à l’instar de ses aînés et des grands disciples, sur la voie tracée par le fondateur du mouridisme Cheikh Ahmadou Bamba : orienter et conduire les talibés sur le droit chemin, par l’enseignement de l’éducation spirituelle, l’adoration d’Allah et le culte du travail conformément aux enseignements de celui - ci : «Sache que le faite de se remettre entièrement en Dieu (TAWAKUL) n’exclut nullement de faire des efforts pour atteindre ses objectifs (KASBU)…»
Sa disparation:
Serigne DANE nous a quittait le jour du 4 avril 1986, à l’âge de 68 ans, à la ville sainte de Touba, et y fut inhumé. Sa disparition sera synonyme d’une grande perte chez ses proches, surtout chez ses frères et sœurs et toute la famille Cheikhoul Khadim.
Son fils aîné l’honorable Mouhamadou Mustapha lui succéda, il continua de jouer le rôle que jouait son père dans le domaine de l’éducation, du travail et dans le sauvegarde de leur héritage jusqu’à ce qu’il rejoignit son Seigneur en 1997. Puisse Allah lui accorder sa miséricorde et l’accueillir dans le plus haut des Paradis.
Le khilafat de Cheikh Mahmoudane khary lô MBACKE est présentement entre les mains de l’honorable Ahmadou Bamba Mbacke, dit S Khadim THIONE, l’hériter de la gloire qui marche et continue à marcher sur le même chemin… que Dieu lui accorde une longue vie accompagnée d’une santé de fer et toute la famille de Serigne Dane MBACKE. Amin!


Abdoul khadre BA (MAJALIS).

A LA DECOUVERTE DES FIS DE CHEIKH MOUSTAPHA AL KARIM [ SERIGNE MBACKE MADINA] 2EME KHALIF

à la dècouverte des fils de  cheikh moustapha 2- serigne mbacke madinaà la dècouverte des fils de  cheikh moustapha 2- serigne mbacke madinaà la dècouverte des fils de  cheikh moustapha 2- serigne mbacke madinaà la dècouverte des fils de  cheikh moustapha 2- serigne mbacke madinaSERIGNE MBACKE MADINA 2EM KHALIF DE DAROU KHOUDOSS. 
NAISSANCE ET FORMATION 
Serigne Mbacke Madina est le fils de Serigne Mouhamadou Moustapha Ibn Khadimou Rassoul, 1er Khalife du Mouridisme, Fondateur de la Grande Mosquée de TOUBA et premier continuateur de l’œuvre de son père. 
La mère de Serigne Mbacke Madina était Sokhna Aminata LÔ fille de Serigne Ndam Abdourahmane LÔ l’érudit dont le rôle sur l’enseignement du Coran dans la famille du Cheikh n’est plus à démontrer. 
Serigne Mbacke nous parvint par la grâce de DIEU en l’an 1913, à Diourbel. 
Il débuta ses études par le Coran avec Serigne Modou Makhtar Alé de Tindody ; pour les sciences religieuses, ce furent Serigne Makhtar DIENG de Gouyar, un Mauritanien du nom de Mukhtar Hasan, Serigne Mouhamadou DEME et Serigne Abibou MBACKE, tous savants férus de sciences coraniques qui s’en chargèrent. 
A la fin de sa formation, il rejoignit son père qui l’envoya à Kael pendant que son frère ainé Serigne Cheikh MBACKE Gaïnde Fatma était lui, envoyé à Nayde. 
Les deux frères rejoignirent ces lieux avec des disciples pour les travaux de la terre et la formation spirituelle « tarbiya » des « taalibe ». 
En 1945, Serigne Mouhamadou Moustapha rejoignit son vénéré père et Serigne Cheikh Mbacke devint premier Khalife de Darou Qudûs. 
Dès lors, Serigne Mbacke ne fit jamais rien si ce n’est sous la directive de Serigne Cheikh. 
Même en ce qui concerne les Dahiras dont l’avènement venait d’être lancé par Serigne Cheikh, Serigne MBACKE n’a jamais voulu en avoir pour son propre compte tant que son frère ainé était là.
L’entente et la concorde entre les deux frères étaient extraordinaires. 
SERIGNE MBACKE, 2ème KALIFE DE DAROU QUDÛS 
Le 11Mars 1978, Serigne Cheikh MBACKE Gaïnde Fatma fut rappel é à DIEU et Serigne MBACKE devint le 2ème Khalife de Serigne Mouhamadou Moustapha. 
Serigne Mbacké sera un Khalife qui œuvrera beaucoup pour la rénovation et le développement de Darou Qudûs et de Bayti (la demeure où ont habité Serigne TOUBA puis Serigne Modou Moustapha et où l’on trouve encore, bien conservés, un grand nombre d’effets personnels ayant appartenu au Cheikh. 
Pour camper la personnalité de Serigne MBACKE Madina, il faut se référer à ces qualités rares qui individualisent toujours les « doomi soxna » gens issus de familles religieuses). 
La foi de Serigne MBACKE était exceptionnelle. Très versé en sciences coraniques, sa principale occupation était la lecture du Saint Coran. 
De plus, sa générosité, son sens de la dignité, sa longanimité et son humilité étaient connus de tous. 
Très respectueux, il ne faisait aucune différence entre les fils de Serigne TOUBA et son père. Et, en même temps, il vouait une grande considération à ses jeunes frères. 
Serigne Mbacké avait un sens aigu de la «Charia » (Loi islamique) et de la «Haqiqa » (Vérité immanente). 
En 1979-1980, Serigne MBACKE réalisa la réhabilitation de la mosquée de Darou Qudûs, ce sanctuaire du Mouridisme où Serigne TOUBA faisait ses « ictikâf » (retraite spirituelle) et où se passa ce Pacte historique entre le Cheikh et le Prophète (PSL) qui fut à l’origine du Grand Magal de TOUBA. 
Aussi bien le Pacte que l’action de réhabilitation entreprise par Serigne MBACKE seront clairement relatés par Serigne Abdoul Ahad MBACKE, alors Khalife Général des Mourides. 
Les travaux de réhabilitation furent donc menés par Serigne MBACKE, avec Serigne Ousmane NDIAYE et toute la famille de Serigne Darou Assane NDIAYE. 
L’inauguration de l’édifice eut lieu en 1980, par une prière de « Timis » (Maghreb) avec Serigne Abdoul Ahad MBACKE et beaucoup de dignitaires mourides. 
Aujourd’hui, la même action de rénovation, d’agrandissement et d’embellissement sur la mosquée est entrain d’être menée par le jeune frère de Serigne MBACKE, Serigne Ahmadou Makhtar MBACKE, avec le concours de Serigne Madieumb NDIAYE et beaucoup de disciples. 
Serigne Mbacké a donc joué un rôle particulier dans la Mouridiya à l’instar de son aîné Serigne Cheikh Mbacké qui a réalisé la même action de réhabilitation pour la Mosquée de Diourbel, cet autre sanctuaire où Serigne TOUBA séjourna pendant les 15 dernières années de son séjour terrestre. 
Voilà deux mosquées dont la place dans la Mouridiya est une place de choix. 
Mais, l’action de réhabilitation de Serigne MBACKE a concerné tout Darou Qudûs, la maison de Serigne Mouhamadou Moustapha elle-même et Bayti, toujours avec de la famille de Serigne Darou Assan NDIAYE. 
Son action s’étendra même à Diourbel où il avait l’habitude de passer le « Gamou » (Maouloud) et la Korité. 
A l’actif de Serigne Mbacké, il faut compter la création du marché de Mame Diarra (Madyana) et de beaucoup de localités telles que Madina, Bombali, etc. 
Il en sera aussi jusqu'à ce jour de 13 juillet 1985 où Serigne Mbacké Madina rejoignit ses illustres prédécesseurs. 
Ainsi cet illustre fils de Serigne Mouhammadou Moustapha, cette grande personnalité à qui Serigne Saliou Mbacké actuel Khalif Général des mourides avait l’habitude de rendre visite la nuit du Laylatul Qadr (nuit de la détermination). 



lunedì 8 aprile 2013

VISITE A BERTINORO

Comme vous avez serigne mam mor a reçu le prix de LEONARDO MELANDRI le 22 semptembre 2012.
A l'occasion de la remise de cadeau ( un tableau ) l'èquipe de taif channel c'est dèplacè pour vous documenter les temps forts.Il Premio “Leonardo Melandri” è indirizzato a coloro che nel corso dell’anno, con spirito di verità e di conoscenza, hanno saputo valorizzare, documentare, divulgare e promuovere il dialogo tra le religioni monoteistiche, comunicando la bellezza dell’essere uomini religiosi. A sei anni dalla sua scomparsa, il Museo intende ricordare la figura del suo fondatore, il sen. Leonardo Melandri, che ideò, progettò e realizzò il Museo Interreligioso di Bertinoro, unica realtà museale italiana dedicata al dialogo tra Ebraismo, Cristianesimo e Islam. SERIGNE mam mor mbcke nipote de cheikh ahmadou bamba fondatore del ( mouridismo) stato premiato nel 2012.
Le Prix «Leonardo Melandri" est destiné aux personnes au cours de l'année, dans un esprit de vérité et de connaissance, ont contribué à améliorer, documenter, diffuser et promouvoir le dialogue entre les religions monothéistes, la communication de la beauté des hommes religieux. Six ans après sa mort, le Musée mettra en évidence la figure de son fondateur, le sénateur. Leonardo Melandri, qui a conçu, dessiné et construit le Musée Bertinoro interconfessionnel, musée seule réalité italienne consacrée au dialogue entre le judaïsme, le christianisme et l'islam.
serigne mam mor mbacke petit fils de cheikh ahmadou bamba fondateur du tarikha ( mouride) a ete choisi en sepmtembre 2012. —



remis prix leonardo melandri

27/01/2013 21:38

remis prix leonardo melandri




Il Premio “Leonardo Melandri” è indirizzato a coloro che nel corso dell’anno, con spirito di verità e di conoscenza, hanno saputo valorizzare, documentare, divulgare e promuovere il dialogo tra le religioni monoteistiche, comunicando la bellezza dell’essere uomini religiosi. A sei anni dalla sua scomparsa, il Museo intende ricordare la figura del suo fondatore, il sen. Leonardo Melandri, che ideò, progettò e realizzò il Museo Interreligioso di Bertinoro, unica realtà museale italiana dedicata al dialogo tra Ebraismo, Cristianesimo e Islam. SERIGNE mam mor mbcke nipote de cheikh ahmadou bamba fondatore del ( mouridismo) stato premiato nel 2012.


Le Prix «Leonardo Melandri" est destiné aux personnes au cours de l'année, dans un esprit de vérité et de connaissance, ont contribué à améliorer, documenter, diffuser et promouvoir le dialogue entre les religions monothéistes, la communication de la beauté des hommes religieux. Six ans après sa mort, le Musée mettra en évidence la figure de son fondateur, le sénateur. Leonardo Melandri, qui a conçu, dessiné et construit le Musée Bertinoro interconfessionnel, musée seule réalité italienne consacrée au dialogue entre le judaïsme, le christianisme et l'islam.
serigne mam mor mbacke petit fils de cheikh ahmadou bamba fondateur du tarikha ( mouride) a ete choisi en sepmtembre 2012. —